Personnage Non Joueur
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Date du message: Ven. 15 Nov 2013, 23:40
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// La soirée avait été riche en événements. En y repensant, c'était comme ça depuis que le château s'était paré des couleurs de Halloween. Ce soir-là, Phil avait eu vraiment très peur pour son maître. Que serait-il advenu d'Albert Baladuric Couertet si personne n'avait été capable de le sortir de sa citrouille ? Et lui, Phil, qu'aurait-il fait sans son maître pour le guider dans l'Art béatifiant continu, dessinant explicitement et facilement (généralement) l'histoire imprégnée et jalonnée d'une kyrielle de lettres modifiant non-objectivement la phrase quant au renseignement sensé, transmettant une vague de "waouh" (X fois) y zonant ? Non, vraiment, il était très reconnaissant aux élèves qui avaient pu l'aider.
Son maître s'en était sorti tant bien que mal, et maintenant Phil devait se retirer. Il s'éloigna peu à peu, non sans avoir bien chaleureusement remercié les braves élèves une nouvelle fois.//
- zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz...
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Résultats :
Félicitons tout d'abord, en première position, remportant 2 citrouilles et 500 myrins...
Avec sa création :
Spoiler : | Citation de Versipellis : | Aide Bien Compliquée
Aglaé maugréa. Après la journée éprouvante qu’elle venait de passer, se retrouver à plus de minuit en pyjama dans les couloirs de Poudlard était vraiment l’une des pire choses qui pouvaient lui arriver. Déjà qu’elle avait été réveillée par le bourdonnement désagréable d’un moustique… La présence de l’insecte était inhabituelle au milieu de l’automne, mais ce qui l’était encore plus, c’est qu’il s’était mis à parler lorsqu’elle avait tenté de l’écraser :
« C’est vous, Mademoiselle Aglaé Bourbon de la Camelière ?
- Euh… Oui… »
Le moustique connaissait son nom. Tout était normal... Il reprit :
« Ah, c’est vous que je recherche. Vous êtes la seule à pouvoir aider mon maître, Albert Baladuric Couertet ! Il est coincé dans une citrouille dans le couloir ! »
Aglaé s’était donc levée et c’est pourquoi elle se retrouvait là… Elle demanda au moustique :
« Pourquoi moi en particulier ? Je veux dire, les professeurs de Poudlard sont sûrement beaucoup plus compétent, non ?
- Vous vous appelez Aglaé Bourbon de la Camelière. ABC. Or, mon maître a voué sa vie à faire des rimes en ABC. Or, il est énervé, et il se trouve que vous êtes la seule personne à dix kilomètres à la ronde à posséder de telles initiales, à part lui, bien sûr. Je me suis dit que les reconnaître en vous le calmerait peut-être ».
Aglaé haussa les sourcils. Un moustique qui parlait ne pouvait qu’être au service d’un maître fou… Cette nuit allait rester dans sa mémoire, elle le sentait…
L’insecte et elle-même arrivèrent finalement devant la citrouille. Là, le moustique expliqua, chuchotant pour ne pas qu’Albert l’entende :
« J’ai déjà percé un trou grâce à mon dard dans la paroi, là, juste à côté de la tige. Techniquement, comme mon maître est désormais un esprit, il lui suffirait simplement d’accepter de passer dans ce trou pour être tiré d’affaire. Mais comme il est énervé, il est devenu buté et refuse même d’essayer. Il dit que comme toute cette histoire le gonfle, il ne pourra pas passer par un si petit orifice…
- Très bien, je vais essayer de le faire changer d’avis ! »
Et Aglaé s’accroupit à côté de la citrouille, prête à parler à cet esprit récalcitrant. Se sentant un peu stupide, elle lança un timide :
« Bonjour ! »
L’esprit ne réagit pas. Elle tenta alors de se conformer à la fantaisie du spectre :
« Ah, bonjour, cher ami ! Belle citrouille ! »
Cela n’avait pas grand sens, mais au moins, on avait une suite de ABC… Et cette fois, Albert Baladuric Couertet daigna lui répondre :
« Ave, beauté compatissante ! Avouez bien calmement à Baladuric cette appelation… »
Aglaé fronça les sourcils, ne comprenant pas trop où l’esprit voulait en venir. Heureusement, le moustique s’approcha de son oreille et lui traduisit :
« Il vous demande votre nom… »
Elle déclara donc à voix haute :
« Aglaé Bourbon-Camelière »
Elle laissa tomber le « de », ne voulant pas contrarier le fantôme, qui, sur un ton joyeux, s’exclama :
« Ah ! Beau, c’est ! Albert Baladuric Couertet ! Allons : besoin, chère amie, besoin carrément aide ! »
Le moustique commenta :
« Il parle parfois en style un peu télégraphique quand il est fatigué. Il faut le comprendre, le but que le maître s’est fixé est difficile…
- Et que dois-je faire ? »
La préfète avait été réveillée en plein milieu de la nuit : ses capacités de réflexion étaient donc un peu brumeuses, et tirer des esprits de leurs citrouilles n’était pas sa spécialité. Heureusement, l’insecte lui expliqua la marche à suivre :
« Vous devez simplement le convaincre de passer par le trou que j’ai pratiqué ! Oh, en essayant de respecter au mieux les rimes du vénéré maître, bien sûr ».
Facile à dire… Aglaé se concentra donc, préparant dans sa tête sa grande tirade :
« Allez ! Bon camarade, admirez bien cette alvéole brusquement creusée à, baste, cet admirable beau coin : ah, bravo, cher anophèle ! »
Heureusement qu’Aglaé connaissait le nom savant du moustique… Elle poursuivit :
« Bientôt, circulez ! Aisé, Baladuric. Commode ! Allez : bientôt au-dehors !
- Ah : bouffi Couertet… »
Le moustique traduisit :
« Il pense qu’il est trop gros pour passer… Je vous l’avais dit… »
Aglaé s’emporta :
« Approximatif : Baladuric charmant, allongé, beau ! Carrément abordable !
- Ah ? Belle camarade : authentique ?
- Assurément !
- Alors bien, cherchons à bientôt, cornegidouille, abandonner brusquement cette affreuse ballonnée citrouille ! »
Le moustique cria de joie :
« Bravo, Aglaé, vous avez réussi ! Il va tenter de sortir ! »
Et en effet, la jeune fille fit une fumée grise se former à la sortie de l’orifice percé dans la citrouille. Elle s’épaissit de plus en plus, jusqu’à former un spectre entier, celui d’un homme portant une longue barbe, un peu grassouillet : Albert Baladuric Couertet, enfin libéré ! Il remercia Aglaé en ces termes :
« Aglaé : bonne commisération ! Albert bien content ! Allez bientôt coucher ! »
Et, sans demander son reste, Aglaé fila dans son dortoir, maintenant que l’esprit était libéré. C’était une aide bien compliquée qu’elle avait dû accorder ! Elle s’endormit presque aussitôt : de toute façon, cette aventure lui avait semblé être le prolongement d’un songe par son absurdité.
Elle rêve d’abécédaires cette nuit là. |
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En seconde place, la personne qui remporte 1 citrouille et 350 myrins est...
Et son texte :
Spoiler : | Citation de Adhara : | // Adhara O’Callaghan n’en croyait pas ses yeux : un moustique, d’à peine un centimètre de long, lui demandait son aide pour aller délivrer son soi-disant maître. Même si elle avait l’habitude du surnaturel, ça, c’était du jamais vu !
Pourquoi la choisir, elle ? Pourquoi n’avait-il pas plutôt prévenu l’un des professeurs ? Et là, une pensée vint à la Poufsouffle. //
** Si c’était un piège ?! Après tout, on parle d’un esprit, piégé dans une citrouille de surcroît. **
// Après avoir passé sa journée à chasser des spectres, il était tout à fait normal qu’elle se posa la question. Cependant, elle ne put pousser plus loin ses réflexions. Le prétendu Phil venait de planter son dard dans son bras. //
- Hey ! Mais t’es cinglé ! Pourquoi as-tu fait ça ? Si tu recommences, je fais apparaitre un spray anti-nuisible et je te noie dedans !
// A cela, l’insecte lui répondit le plus simplement du monde qu’il s’était senti obligé de la piquer, car elle perdait trop de temps à tergiverser.
La Préfète prit alors une grande décision : elle allait venir au secours du moustique. Et quand ce sera terminé, elle pourra enfin retourner dans son lit. //
- Allez, suis-moi, Mosquito. On va délivrer ton fameux Albert Balafré Coursatlétic.
// A ce moment précis, Phil regretta de ne pas avoir de main pour se taper le front de dépit. De tous les élèves de cette école, il n’avait pas choisi la plus futée. A moins que ce ne fut qu’un manque de politesse dû à une très mauvaise éducation. //
** Que va-t-il advenir de mon maître ? Je l’ai, sans doute, mis encore plus en danger qu’il ne l’est déjà. **
// Tout en essayant d’être la plus discrète possible, Addy sortit du terrier des blaireaux. Ne sachant exactement où elle devait aller, elle suivit Phil qui avait pris la tête de leur expédition. Arrivée dans le couloir menant aux escaliers, elle fut surprise de voir une citrouille trôner au beau milieu du corridor. Au moins, elle avait la certitude que le petit monstre ailé ne lui avait pas menti sur ce point.
Plus elle s’approchait de la cucurbitacée, plus elle pouvait entendre une sorte de chuintement, mais rien de véritablement significatif. //
**Donc récapitulons : nous avons un esprit enfermé dans une citrouille et je ne peux pas la faire exploser sous peine de relâcher un fantôme très mécontent. Pfff, en somme, j’suis pas sortie de l’auberge. **
// Adhara fit le tour de la courge tout en réfléchissant à un moyen efficace d’extraire Albert sans causer de dommages collatéraux. Après quelques minutes d’intenses cogitations, elle en vint à la conclusion qu’utiliser la magie serait trop risqué. Vu son état de fatigue avancée, même le sort le plus innocent aurait pu se révéler être une arme mortelle. Cela prit encore un petit moment avant que la solution ne lui apparaisse clairement. //
- J’ai trouvé ! Mosquito…
- PHIL ! Je m’appelle Phil, nom d’une guêpe !
- Ouais, ouais. Donc je disais… Ah oui ! Mosquito, tu restes ici. Je vais rapidement chercher deux ou trois bricoles qui pourront nous être utiles et je reviens !
- Mais…
// Le maringouin ne put terminer sa phrase que la jeune fille avait déjà disparu dans les escaliers.
Ne pouvant rien faire d’autre en attendant, il prit le parti de s’installer sur le volumineux fruit orange et de faire un brin de causette à son maître. Ce dernier ne pouvait être entendu par l’extérieur, mais peut-être que l’inverse était possible.
Pendant ce temps-là, dans le Bureau du concierge, la Jaune-et-Noire fouillait dans le bric-à-brac entassé depuis des années. Quand, tout à coup, elle vit enfin l’objet qu’elle recherchait : la boîte à outils de Quintus Billybork. Sans aucune autre considération, elle prit le contenant métallique rouge et repartit aussi vite qu’elle le put.
Quand elle revint dans le couloir, elle se demanda où était passé l’insecte de tous ses malheurs, jusqu’à ce qu’elle le voit assis sur la citrouille.
Phil mit quelques secondes à remarquer la présence de l’étudiante. Mais ce qui le choqua le plus, était ce qu’elle tenait à la main. Que comptait-elle faire ? Ecraser la nouvelle résidence de son maître ? Il souffla de soulagement au moment où il la vit poser l’objet par terre.
Avec la délicatesse qui la caractérise, la cadette des O’Callaghan ouvrit brutalement la boîte à outils. Un son tonitruant en résulta, résonnant à l’infini contre les murs du château. //
** Si je ne réveille pas tout le monde avec ça, je suis chanceuse. **
// Examinant le contenu du coffret, Addy repéra ce qu’elle voulait. Voulant se recoucher le plus rapidement possible, elle ne perdit pas une seconde pour se mettre au travail. Elle posa la pointe du vilebrequin sur le potiron et commença à tourner la manivelle, afin d’y percer un trou. Il lui fallut beaucoup d’acharnement et de sueur pour y arriver et surtout pour éviter de forer trop loin, au risque de toucher le fantôme. Quand elle obtint un orifice assez large à son goût, elle se retourna et prit un tournevis. //
- Tournapaillum !
// Sous les yeux ébahis du moustique, la jeune femme avait métamorphosé l’outil en une paille. Elle inséra ensuite l’objet dans la cavité et expira un bon coup. Se demandant si elle n’était pas folle de faire ce qui allait suivre, elle posa sa bouche sur la paille et aspira autant que ses poumons le lui permettaient.
Malheureusement, son super plan avait une faille à laquelle elle n’avait pas pensé : où va l’esprit une fois qu’elle l’a englouti ?
Elle obtint sa réponse seulement un quart de seconde plus tard. Le fantôme avait pris possession de son corps. Sans qu’elle eut le choix, elle se sentit se mettre debout, amena sa main vers Phil et le souleva par ses ailes. Mais le plus étrange fut, quand une voix masculine sortit de sa bouche. //
- Phil, mon Adorable et brillant compagnon. Comme il est bon d’être enfin libéré de cet affreux brouillard cauchemardesque. Tu as sauvé ma non-vie grâce à ton admirable bagou de culicidé. Pourrais-je, un jour, suffisamment te remercier ? Tout ce que tu souhaites, tu l’obtiendras. Des ailes bleu céladon ? Un authentique bibelot carnavalesque ? Une avenante bande de cervidés à piquer autant que tu le voudras ? Une…
- Non, maître ! Je n’ai besoin de rien. Seul être à vos côtés compte pour moi.
** Et moi ? Je compte pour des cacahuètes ? Non mais sortez immédiatement de moi ! **
// Malgré toute sa bonne volonté, c’était comme si l’esprit ne l’entendait pas. Rassemblant toutes ses forces, Adhara réussit à amener sa main jusqu’à sa bouche. Ce qu’elle allait faire n’était pas forcément très ragoutant, mais s’il fallait en passer par-là pour être débarrassée de cet importun, elle était prête à tout. Dépassant son dégoût, elle enfonça profondément ses doigts dans sa gorge. Après deux essais, elle réussit enfin à régurgiter le spectre.
Alors que ce dernier allait prendre la parole, elle le coupa dans son élan. //
- Grrr, vous vous taisez ! JE vous ai délivré ! Le moucheron n’y est pour strictement rien ! Alors JE mérite les récompenses. Rho et puis, vous savez quoi ? Je n’ai qu’une envie, c’est d’aller me coucher. Alors partez sur le champ ! Et la prochaine fois, Mosquito, va trouver un autre pigeon !
// C’est sur ces sages paroles que la Poufsouffle retourna au pas de course dans son dortoir. Elle espérait pouvoir enfin dormir à poings fermés, même si elle redoutait de voir ses rêves hantés par ces deux acolytes bouleversants de crétinerie. //
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En troisième place, avec un gain de 200 myrins, voici...
Avec sa création :
Spoiler : | Citation de Astoria M-P : | près avoir passé un nombre d’heures incalculables à la Bibliothèque de Poudlard et celle de chez elle, Astoria parcourait les couloirs en s’étirant.
-Pff, Elrik a intérêt à apprécier les efforts que j’ai fait pour lui trouver ce foutu grimoire sur les propriétés des plumes magiques, pesta la jeune Serdaigle. Bah, le truc positif c’est que j’ai pu voir les jumeaux.
Astoria regarda l’heure : il était près de 23h.
**Oups, j’ai pas intérêt à me faire gauler par Quintus Billybork ou Ricky Stimpton. **
La Jeune Serdaigle sorti la carte du Maraudeur afin d’éviter les ennuis. Arrivée au 6ème étage, elle repéra un nom assez … particulier :
- Phil le Moustique ?! Mais qu’est-ce qu…
Astoria ne put finir sa phrase qu’un drôle de bruit se rapprochait rapidement.
- zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz...
Le son passa près de son oreille, elle tenta de la chasser avec sa main quand elle entendit quelqu’un parlait :
- - zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzziiiuuuuzzmalpoli.. *kof*, *kof*...
- Excusez-moi ?
- Hé, toi ! Qu'est-ce qui t'prends ?! Tu frappes sur tous les inconnus qui te demandent de l'aide ?
- Je suis désolée, je ne m’attendais pas à rencontrer quelqu’un comme vous, à cette heure-ci. Qui êtes-vous ?
Le moustique se mis à la hauteur de ses yeux et se présenta :
- Moi j'suis Phil, et toi tu dois absolument m'aider ! L'esprit de mon maître, le célèbre Albert Baladuric Couertet, est coincé dans une citrouille. Elle est juste dans le couloir, là-bas, il faut vite trouver un moyen pour l'en sortir ! Mais attention, ne fais surtout pas exploser la citrouille, tu risquerais d'énerver son esprit encore plus...
- Euh … d’accord je vous suis.
La jeune Serdaigle suivi l’insecte tout en vérifiant qu’il n’y avait pas de danger pour elle dans l’immédiat – soit un concierge frustré, soit une psychopathe en force ou autre chose.
ras ballants, arrivée devant la citrouille en question, Astoria eut du mal à se retenir de rire, il faut dire que la situation été … renversante : l’ami de Phil, son maître le célèbre Albert Baladuric Couertet se retrouvait la tête coincée dans une citrouille découpée à l’effigie d’un zombie – un comble pour ce pauvre poète – mais avec un détail qui toute son importance : les jambes en l’air qui gesticulaient dans tous les sens.
- … Pff. Ahem, pardon. Et donc, comment votre honorable ami a-t-il réussi … l’exploit de se retrouver le corps à l’envers, la tête dans une citrouille ? demanda le plus calmement possible Astoria, le sourire jusqu’aux oreilles.
- Voyez-vous, mon maître trouvait la citrouille un peu petite pour célébrer cette noble fête qu’est Halloween. Personnellement, je la trouvais convenable, surtout vu son emplacement, à la place de la tête d’une armure. Voulant à tout prix me prouver le contraire, mon cher maître a pris la citrouille en question, la mise sur sa tête et ma alors dit que finalement, elle était acceptable. Seulement voilà, en voulant la retirer, un autre esprit est alors apparu et a alors dit exactement : « Ben alors Ab’, c’est pas bien de joué avec la nourriture. Tu devrais le savoir, vu que tu as été un vilain garçon, je vais faire en sorte que cette citrouille te mange tout cru si tu ne l’enlèves pas dans 2 heures. Bonne chance. HIHIHIHIHIHIHIHI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »
Astoria regarda ébahi le moustique puis Albert, de nouveau Phil puis la citrouille. Elle pris une grande inspiration pour calmer son hilarité futur et demanda le pourquoi du comment il se retrouvait les fers à l’air.
- Et ben, l’esprit en question la bousculé, mon maître est tombé mais vu que sa tête était plus lourde due à la citrouille, et ben il a atterri ainsi.
3, 2, 1 …
- HAHAHAHAHA !!!!!! Pff ParrHAHAHA – inspiration – Pardon mais héhé, hum pfff. Ahum. Et donc il ne peut pas passer au travers je suppose ? questionna la Serdaigle, avec le sourire tout en essuyant des larmes de rires.
- Malheureusement non, déclara dépité le moustique. Je vous en supplie, venez en aide à mon pauvre maître.
- Au lieu de vous moquer, ayez la gentillesse de ME SORTIR DE LAAAA !!!!! s’exclama la citrouille ou plutôt, Albert.
** ommençons par le début, analysa Astoria. Je pense pouvoir dire sans me tromper que c’est Peeves qui est derrière tout ça. Ensuite, cette histoire de citrouille mangeuse de fantôme me paraît impossible : Peeves n’aurait pas l’énergie nécessaire pour faire ce sort. Il n’y a qu’une seule chose à faire normalement. **
Astoria se rapprocha de la citrouille en douceur et s’agenouilla devant.
- Monsieur Couertet, pourriez-vous mettre vos mains et vos pieds sur le sol s’il vous plaît ?
Le fantôme s’exécuta avec résistance mais fit ce qu’il lui était demandé.
- Bien, ne bougez plus.
Astoria sortit sa baguette en se relevant, fit un premier mouvement de baguette sous le regard paniqué de Phil ainsi qu’un second mouvement à sa suite.
- A présent, je vous demanderais de pousser Monsieur Couertet.
- Mademoiselle, je fais ceci depuis le début alors pourquoi cette fois-ci cela marcherai ?
- Pour la simple et bonne raison qu’avant je n’étais pas là pour vous aider. Maintenant ayez l’obligeance de faire ce qu’une Lady vous ordonne de faire, déclara aimablement la Serdaigle à la citrouille récalcitrante.
Pessimiste mais n’ayant d’autres choix, notre cher fantôme poussa sur le sol comme pour se redresser et là … il se retrouva propulsé vers le plafond. Ébahi, Albert Baladuric Couertet se laissa retomber mais avant de se retrouver une nouvelle fois la tête encitrouillée, la jeune sorcière fit disparaïtre la citrouille incriminée. Après qu'il est repris son sang-froid et donc éviter de ressembler à une crêpe, Albert se remis à flotter dans les airs près de ses sauveurs.
- Aimable, Brave et Chaleureuse Lady, comment avez-vous réussi un tel miracle ? Anéanti, Besogneux Comme je l’étais, je croyais finir l’éternité ainsi bloqué, coupé du monde.
- Oui Mademoiselle comment est-ce possible ? dansa Phil autour de la sorcière.
- Le plus simplement du monde très cher : le trou qui a servi à vider la citrouille était plus petit que votre tour de cou Monsieur Couertet. De par votre nature fantomatique, l’entrée n’a pas posé le moindre problème. En revanche lorsque cet autre esprit, qui se nomme Peeves, vous a conté son histoire et bousculé, vous étiez effrayé et n’osez pas dire le contraire, dit la jeune fille en voyant le fantôme ouvrir sa bouche pour protester. Et bien sur tout le monde sait que lorsqu’un fantôme laisse de fortes émotions dictées sa conduite, il devient tangible. Votre tête était par conséquence coincée à l’intérieur de la citrouille. Ensuite, j’ai tout simplement celé cette dernière au sol, lubrifié le pourtour du trou et vous apaisé en vous parlant. Voilà.
- Admirable ! Bravo jeune damoiselle. Comme quoi, les choses les plus simples sont les plus efficaces. N’est-ce pas Phil ?
- Vous êtes remarquable Mademoiselle, s’inclina Phil, suivi du fantôme.
- Si jamais vous avez besoin de quoique ce soit …
- QUI EST SORTI DE SON DORTOIR ???? s’écria la douce voix du concierge.
- Oups, je n’ai pas vu le temps passé, paniqua Astoria avant qu’un sourire sadique apparaisse sur son visage. Dites-moi, pourriez-vous effrayer le concierge pour moi. Mais attention, je veux qu’il en fasse des cauchemars pendant un très long moment.
- Vos désirs Milady, sont des ordres, s’inclina le fantôme avec un sourire charmeur avant de se diriger vers le pauvre concierge.
- Si vous avez encore besoin de nous, il vous suffira d’envoyer le sort « Philius ». Mon maître l’a créé pour que je puisse le localiser facilement quel que soit le lieu où il se trouve.
- Je te remercie Phil. Et à l’avenir, évitez les citrouilles.
- Vous pouvez compter sur moi, déclara fièrement le moustique. Au revoir.
Astoria fit un signe de la main à ses nouveaux amis puis se remis en marche vers la Tour Serdaigle.
**Est-ce qu’il y aura un seul Halloween à Poudlard où je pourrais être tranquille ?** |
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Et enfin, à la quatrième place, remportant aussi 200 myrins...
Avec son texte :
Spoiler : | Citation de Celte White : | **Un moustique qui parle?**
//Voila ce que fut la première pensée de Celte. Oui on est dans une école de magie mais quand même un moustique... fin octobre en plus; non il y avait un truc de louche. Et cette histoire d'esprit enfermé dans une citrouille. Il n'y a qu'a l'ouvrir. C'était si logique que Celte failli se rendormir en maudissant ce moustique qui continuait à faire du bruit.
Il se leva donc et réfléchit. Il n'y connaissait rien en extraction d'esprit. Il partit donc en direction de la bibliothèque en prévenant le moustique//
"-Je vais t'écrabouiller une fois que j'aurait sorti cette esprit."
//Arrivée à la bibliothèque, Celte alla directement au rayon qui parlait d'Halloween et ces légendes, car cela faisait pas de doutes que la venu d'un moustique parlant pendant Manalloween n'était pas un accident.//
"-Dis moi ça arrive souvent que ton maître soit coincé dans une citrouille car dans ce cas tu me dis comment ils ont fait la dernière fois et je retourne me coucher."
"- bzz non pour qui prend tu mon maître? C'est la première fois! Bzz"
**ces bzz vont commencer à m’énerver**
//Celte trouva un livre sur l'emprisonnement d'esprit dans des objets et un autre dans des animaux. Mais rien sur l'emprisonnement dans des citrouilles. //
"-J'ai une idée, on fait une soupe avec la citrouille commença il pourra sortir si il sait nager"
//L'idée n'ayant pas l'air de plaire à Phil le moustique, Celte continua à chercher et trouva quelque chose d’intéressant//
**Ceux qui retient prisonnier un esprit est sa colère, un esprit qui est heureux retrouvera sa liberté.**
"-J'ai trouvé, il va falloir faire rire ton maître.
-Bzz, on est mal je ne l'ai jamais vu autant en colère.
- C'est ça ou la soupe de citrouille
-Bzz va pour ça !"
//Celte et Phil descendirent vers l'endroit ou se trouvait la citrouille et ils se demandaient déjà tout les deux comment faire sortir rire un esprit en colère...
Celte s'approcha de la citrouille et se mit à rire lui même, c'était une toute petite citrouille qui ne ressemblait à strictement rien. La voix du célèbre Albert Baladuric résonna //
"- Te moques tu de moi ? Libérez moi de cette citrouille mais faites attention car j'y tiens particulièrement et si vous la détruisez, je vous réduis en bouilli."
//Celte se mit à rire encore plus fort en imaginant une bouilli de citrouille puis se calma d'un coup quand il réalisa que c'était lui la bouilli.//
"-Heu sincèrement moi je proposais plutôt une soupe de citrouille qu'une bouilli, avec un nuage de lait c'est très bon vous savez."
//Un rire tonitruant se fit entendre, Albert Baladuric avait trouvé ce petit sorcier insolent drôle et pour Celte se fut plus facile que prévu. L'esprit sorti de la citrouille et remercia chaleureusement Celte. //
"-Je te remercie jeune sorcier, je suis sauvé et ma citrouille porte-bonheur est intacte maintenant va te recoucher, je veillerais sur toi.
-Bzz merci Bzz!"
//Celte content d'être débarrasser de ce moustique et de son maître partit gaiement vers sa chambre et donna par inadvertance un coup de pied dans la citrouille qui descendit l'escalier, rebondi contre un tableau, passa par dessus la rambarde et s'explosa au ralenti 3 étages plus bas//
"-Heu oups..."
//Il s'enfuit en courant alors que l'esprit explosait d'une colère sans nom....// |
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Merci aux participants, et bravo pour l'originalité des textes. L'esprit d'Albert a pu retrouver une certaine paix grâce à vous ! Vous pouvez enregistrer vos textes à la bibliothèque si vous le souhaitez, section Fictions.
Bonne fin de Manalloween !
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