Vieux bureau

[Miss RP]

Vieux bureau

Au cours des siècles d'existence de Poudlard, l'enseignement dispensé à l'école a varié. Des matières se sont substituées à d'autres, certaines ont été créées, d'autres supprimées. Récemment, ce sont les cours de graphèmes et d'arts du combat qui se sont notamment ajoutés au programme de formation des élèves !
Chaque matière ayant son professeur, des bureaux sont ainsi disséminés aux quatre coins du château. La plupart sont occupés et décorés avec soin par leur propriétaire ; mais d'autres, tombés dans l'oubli, sont laissés à l'abandon.
C'est le cas de celui dans lequel vous vous trouvez. La poussière recouvre les lieux en une fine couche : quelques livres sont encore présents, n'ayant pas été ramenés à la bibliothèque au départ de leur propriétaire. Même les habitants des tableaux ne viennent plus ici : les peintures accrochées aux murs sont de simples paysages.
Quelle matière enseignait le dernier professeur à avoir occupé les lieux ? Nul ne le sait. La balance et les fioles qui reposent sur le lourd bureau peuvent donner une indication : était-ce un maître d'Alchimie qui régnait là ? Peut-être...
En tout cas, le calme de ces lieux n'est plus troublé que par quelques souris et, parfois, par un élève perdu, qui pousse par hasard la porte de cette salle obscure...

[Versipellis]

[RP entre Constance Loups (Viatoris) et Ann Seymour (Versipellis)]

// Ann n'aurait jamais cru que cela arriverait un jour, et pourtant l'état de tension dans lequel elle avait été plongée après les deux morts qui l'avaient secouées, celle de Charles Le Seault, tué par son frère Timothy, et celle de Zoey, sa petite sœur, s'était lentement dissipé. Bien sûr, il lui arrivait encore de faire des cauchemars la nuit. Bien sûr, elle ne pouvait toujours pas regarder une photo de sa sœur sans éclater en sanglots. Il lui est impossible d'oublier. Depuis quelques mois, l'Amafia va à vau-l'eau, ni elle ni Timothy n'ayant la force de rassembler les membres. A peine surveille-t-on Amarel Prince de loin…
Mais Timothy est encore plus atteint qu'elle. La mort de Zoey l'a littéralement dévasté. Nommé ironiquement préfet de Serdaigle après la mort de Charles, il a quitté son poste après le décès de sa petite sœur. Un aveu d'impuissance significatif.
Ann, elle, après des grandes vacances passées à errer dans le manoir familial hanté de souvenirs de la petite fille défunte, a décidé qu'elle ne pouvait se permettre de vivre le reste de sa vie entourée de fantômes. Elle est une combattante : il lui faut affronter la vie à nouveau. Les regards des autres. La compassion de ceux qui voient en elle une sœur endeuillée. La suspicion des Amafieux par rapport au meurtre de Charles. C'est une bataille comme les autres.
Et Ann est en train de la gagner. Elle n'éprouve plus, comme avant, le besoin de se cacher des autres élèves dès le cours fini. Elle qui passait les interclasses dans les recoins les plus sombres du château, elle ne fuit plus. Bien sûr, elle ne se mêle pas non plus à ses joyeux camarades. Mais elle ne l'a jamais fait : cela n'est pas dans sa personnalité. Elle ne sèche plus les cours : elle se force à assister à chacun d'eux même si elle sent que les larmes s'apprêtent à pointer. Elle s'entraîne dans le dojo malgré les flashs de son combat contre Charles. Bientôt, elle réunira de nouveau l'Amafia.
Ann Seymour n'est pas une lâche. Elle redeviendra forte, quelles que soient les épreuves.
Mais elle a encore des instants de faiblesse. Travailler dans sa salle commune, au milieu des autres élèves, lui est encore difficile. Autrefois, elle se réfugiait dans la salle de l'Amafia. Mais si elle aime toujours autant cet endroit, il est désormais imprégné d'un caractère oppressant qu'elle répugne à affronter sans nécessité. Alors, elle a recours au même stratagème que nombre d'autres élèves de Poudlard : elle cherche un endroit abandonné et s'y terre, espérant que personne ne vienne la débusquer.
Aujourd'hui, elle se cache dans un vieux bureau dans les étages. Elle a l'intention de pratiquer ses exercices de métamorphose, transformer une lunette cuivrée en un serpent fin aux écailles métallisées s'enroulant autour des deux verres restés orphelins, dans la sérénité de cette pièce oubliée. Elle ferme la porte dans un grincement, et fait quelques pas vers le centre de la salle. Ses empreintes s'impriment dans la poussière. Elle pose son sac sur le bureau vermoulu. Elle regarde autour d'elle : rien ne bouge. //

** Tant mieux. J'ai besoin de ce calme… **

[Viatoris]

Longtemps, la petite fille à rasé les murs des couloirs de Poudlard. En attente de s'orienter enfin dans ce gigantesque labyrinthe. Mais au final, ce qui l'empêchait de découvrir ces couloirs un à un, c'était une petite boule d'anxiété dans son ventre. Elle ne pensait pas avoir peur, elle pensait être plus forte que cela. Mais au final, sa mère lui manquait, elle avait peur de décevoir son père, et au fond même si sa maison, elle ne la voyait pas souvent, elle lui manquait.
Néanmoins, elle avait cette sensation tenace que ici, dans peu de temps elle serait chez elle. Poudlard est la solution à tous les problèmes : enfin un foyer stable, enfin des connaissances un engranger, enfin des gens à connaître ! Mais la peur d'échouer la hantait. Alors, elle rasait les murs de pierre, en essayant de chasser cette sensation déstabilisante, cet hamster qui lui rongeait l'estomac.

au final, elle n'était pas bien différent de toutes les petites idiotes de son âge, rosissante et ignorante à en pleurer, qui pleuraient lorsque leur petit confort était loin. Ceci dit, la Serdaigle avait encore conservé sa dignité, et c'est dans cet état d'esprit qu'elle entra dans la dans le petit bureau abandonné.

Tout y était poussiéreux, et les Elfes de maisons de Poudlard ne semblait pas être passés par là depuis des années. Mais cette salle avait le comfort rassurant des choses anciennes et sûres.

Alors, la première année entra et murmura : "Il y a quelqu'un ?"

[Versipellis]

// Ann entend la porte du vieux bureau qui grince en se rouvrant derrière elle. Elle soupire. Ce n'est pas possible. Elle a besoin de calme, et elle est dérangée au bout de même pas cinq minutes ? Qui donc a l'outrecuidance de la troubler ? Elle a beau être secouée ces temps-ci, elle reste capable de coller une raclée au besoin à ceux qui la gênent. Une voix se fait entendre : //

- Il y a quelqu'un ?

// Ann lance avec virulence, sans même se retourner : //

- Oui, il y a quelqu'un, ça se voit, non ?

// Puis elle daigne jeter un regard à la personne qui vient d'entrer. Un regard de ceux qui pourraient occire, si ce pouvoir était accordé à des yeux humains. Mais aussitôt, Ann se sent coupable. L'élève qui vient d'entrer est une petite fille de première année. Elle ne mérite pas tant de violence gratuite… La Serdaigle s'adoucit et ajoute : //

- J'ai choisi de venir ici pour être seule. J'aimerais le rester.

// Et Ann détourne à nouveau son regard de la petite fille, en espérant qu'elle ait compris le message. Elle peut avoir fait une erreur par ignorance. Mais Ann ne lui pardonnera pas de l'aggraver en connaissance de cause. //

[Viatoris]

- Oui, il y a quelqu'un, ça se voit, non ?

// La petite fille sursaute, nse s'attendant pas réellement à une réponse.//

**Non ça se voit pas, la lumière est éteinte.**

// Il était amusant de voir le décalage entre les paroles de la petite fille, toujours sage, et ses pensées, souvent insolent, et généralement sarcastique. Mais jamais la jeune serdaigle dirait quelque chose qu'elle pense à voix haute : son père a toujours réclamé une parfaite conduite de sa part, et avait en quelque sorte forcé Via à cacher sa part d'espièglerie.//

- J'ai choisi de venir ici pour être seule. J'aimerais le rester.

//Son aînée se montrait tout d'un copup plus civilisée : c'était la voir qui lui avait fait cet effet là ? avait elle du remord à s'être attaqué à plus faible qu'elle ? Ou était elle du genre à s'attaquer à un certain type de maison ? Elle envoya juste une petite pique avant de tourner le dos pour rejoindre la lumière ://

- Il est amusant de voir la différence entre les désirs des gens, et leurs besoins.

[Versipellis]

// Ann regrette déjà de s'être adoucie. Elle s'était dit qu'il suffirait de se montrer un peu sèche pour que la petite fille la laisse tranquille. Mais non. Elle se montre aussi pataude que ses aînés. Aussi incapable de voir quand une personne souhaite rester seule. Aussi convaincue de ses talents de psychologue, alors qu'elle n'est capable que de sortir des phrases de pacotille : //

- Il est amusant de voir la différence entre les désirs des gens, et leurs besoins.

// La réponse d'Ann fuse, incendiaire : //

- En effet. Tu désires manifestement me soûler, alors que tu aurais besoin de te barrer en vitesse si tu ne veux pas que je m'énerve.

// Aurait-elle eu besoin de dire cela ? Pas forcément. La petite fille était déjà en train de tourner les talons avant cela. //

** Où est passé mon contrôle de moi-même ? **

// La jeune élève en face d'elle est une Serdaigle. Qui connaît forcément sa tête. Qui pourrait aller tout balancer aux préfets. Timothy a perdu son poste récemment. Pour ne pas lui infliger une trop lourde charge suite à la mort de Zoey. Officiellement. Winona, Selena et Caleb, l'équipe actuelle, sont tous les trois dégoulinants de sensiblerie. Ils n'aiment pas trop Ann. Ils la trouvent trop froide. Nul doute qu'ils se feraient un plaisir de réprimander Ann si la petite fille se plaignait.
Autant de raisons pour Ann de se maîtriser.
Autant de raisons d'exploser et de braver les interdits. L'agressivité se diffuse dans ses veines, et elle crie : //

- Allez, casse-toi !

// Peut-être que si la petite fille n'avait pas les cheveux de la même nuance de brun que Zoey, elle n'aurait pas hurlé si fort. Ou peut-être qu'elle aurait explosé de toute façon. C'est pour cela qu'elle était venue se réfugier dans ce vieux bureau à la base. Pour ne pas perdre le contrôle d'elle-même en public. //

[Elerinna Calaelen]

[Début de RP entre Elerinna Calaelen et Charlen Di Marzio]

// Après sa rencontre avec Jacob, Elerinna était repartie de la salle des trophées le cœur léger. Ses livres appuyés contre sa poitrine, elle marchait allègrement en direction de sa salle commune quand elle s'aperçut que son annonce avait bel et bien disparue du grand panneau de liège. Puisque ce n'était pas le jeune homme qui l'avait prise, cela signifiait que quelqu'un d'autre se rendait au vieux bureau en ce moment même, pensant qu'elle y serait. Ne pouvant décemment pas poser un lapin à une âme charitable, elle remonta les escaliers en sifflotant la barcarolle.

Puisqu'elle avait bien avancé le programme de défense contre les forces du mal avec Jacob, elle pourrait demander de l'aide pour les potions, ou l'histoire de la magie. Tout dépendra de son interlocuteur/trice. Elle qui partait avec si mauvais feeling sur son redoublement, elle se retrouvait désormais avec deux professeurs pour le prix d'un. En montant les marches, elle prit alors deux résolutions. Petit un : plus jamais elle ne se laisserait abattre par de mauvaises impressions. Petit deux : si elle réussissait à avoir son année, elle offrirait une cervoise à Pré-Au-Lard à Jacob et professeur(e) numéro 2.

S'arrêtant enfin devant la vieille porte du bureau, elle la poussa en toussotant pour vérifier que le couple qu'elle avait surpris plus tôt dans l'après-midi ne s'y trouvait plus. A sa place, elle tomba nez-à-nez avec ... sa préfète. //

- Oh ! Salut ! dit-elle un peu surprise. C'est donc toi qui a pris mon post-it ?

// Elle s'avança vers le bureau, en dépoussiéra une partie et y installa sa pile de livres. //

- Charlen, c'est ça ?

// Comme elle pensait que ç’aurait été mal vu de ne pas connaître le prénom de sa propre préfète, Elerinna prit les devants. //

[Liara]

// Charlen était sortie des cuisines, avec un panier rempli de toutes sortes de gâteaux bariolés, biscuits croustillants et amuses-bouches aux saveurs étranges. La Serpentard soupçonnait très sérieusement les elfes de maison de l'avoir garni avec ce qui leur était tombé sous la main, beaucoup plus obnubilés par le repas qu'ils avaient à préparer pour le soir-même. Et pour cause, la préfète n'avait demandé que quelques chocogrenouilles, histoire de ne pas passer sa soirée à travailler avec un élève le ventre vide, et la voilà en train d'arpenter les couloirs, presque en titubant sous le poids indécent du panier de friandises.

Le brune finit sans trop d'encombres à retrouver la pièce indiquée sur son post-it, celle d'un bureau abandonné qui, pensait-on, était désert depuis plusieurs décennies. Charlen en avait quasi oublié l'existence, et ne pensait pas un jour y mettre les pieds, et certainement pas pour aider un de ses camarades à rattraper ses cours. Elle poussa la porte du pied - ses mains étant plus occupées à porter sa charge - et posa le panier sur la première chaise qu'elle aperçue. Aussitôt, la jeune femme toussota violemment. Ah, la poussière. Qui pouvait avoir envie de travailler dans une ambiance pareille ?

Si la personne demandant de l'aide se révélait être un plaisantin, elle allait clairement monter sur ses grands cheveux et s'énerver très rapidement. D'ailleurs, elle commençait à douter quand la porte s'ouvrit une seconde fois. //

- Oh ! Salut ! C'est donc toi qui a pris mon post-it ? Charlen, c'est ça ?

// L'interpellée acquiesça, soulagée de ne pas voir un idiot de première exploser de rire entrer dans la pièce. //

- C'est bien moi. Entre nous... je ne serais jamais venue ici de mon plein gré, dit-elle, amusée. Et toi, si je ne me trompe pas, c'est Elerinna.

// Tout était devenu limpide dans le cerveau de Charlen. Elerinna, elle connaissait ce visage, elle connaissait son prénom. Enfin, surtout son prénom. La rouquine avait besoin d'un rattrapage et de révisions intensives à cause des cours qu'elle avait manqué... parce qu'elle était l'une des ex-prisonniers de Wakefield. Un peu surprise, un peu plus compatissante, elle prit la décision de ne poser aucune question. Elle comprenait la situation pour l'avoir vécue via son cousin. //

- J'avais prévu de ramener un en-cas, mais les elfes ont été généreux. Du coup, n'hésite pas à piocher. Du coup, par quoi veux-tu commencer ?

[Elerinna Calaelen]

// Étonnée que Charlen la connaisse, la rousse y réfléchit à deux fois et se dit que ça n'était pas si surprenant finalement. Une préfète qui ne connaissait pas les élèves de sa maison ne ferait pas la meilleure des préfètes. Elle devait donc déjà avoir fait le rapprochement avec l'affaire Wakefield. Heureusement pour Elerinna, elle ne posa aucune question. S'installant donc à la table, elle tenta de concentrer son esprit sur quelque chose de plus académique. Elle était d'une humeur si radieuse que les airs d'agogô ne voulaient pas laisser son esprit en paix pour qu'elle puisse travailler. Elle n'était pourtant pas mauvaise élève, et les quelques heures de rattrapages avec Jacob ne devraient pas l'empêcher d'étudier à nouveau le soir venu. //

- J'avais prévu de ramener un en-cas, mais les elfes ont été généreux. Du coup, n'hésite pas à piocher. Du coup, par quoi veux-tu commencer ?

- Oh c'est gentil ! dit-elle en piochant justement dans le panier bien garni. J'ai déjà travaillé les défenses contre les forces du mal cette après-midi, du coup je me disais qu'on pouvait peut-être faire les potions, ou de la métamorphose ? Tout dépend de ce que tu préfères ..

// En avalant une bouchée du beignet qu'elle avait pris dans le panier, Elerinna lui trouva un goût un peu pâteux. Elle le finit tout de même et ouvrit ses deux livres aux pages respectives des chapitres qu'elle avait manqué. Potion de précision ou Amplificatum. Au choix. Ce qui faisait trois chapitres de potions et deux chapitres de métamorphose. Le redoublement lui paraissait être une perspective de plus en plus lointaine, à sa plus grande joie. //

- Ça a un goût de farofa, tu connais ? Bon en tout cas, je penche un peu pour l'Amplificatum parce que je pourrai m'essayer à le lancer. Alors que je n'ai pas mes ingrédients de potions sur moi ...

[Liara]

// Tentée, Charlen se saisit d'une tartelette à la citrouille et mordit dedans en écoutant Elerinna parler. La Serpentard n'était pas venue les mains vides, si l'on mettait de côté les gâteaux. Dans son sac de cours un peu plus lourd qu'à son habitude, elle sortit ses nombreux parchemins, un peu vieillis et usés par le temps, qu'elle avait gardé pendant toutes ses années. Charlen faisait partie de ces personnes qui n'appréciaient pas jeter leurs affaires, aussi inutiles qu'elles pouvaient être. Dans ce cas, ses anciens cours s'étaient trouvés une nouvelle utilité et la brune les posa un à un sur le bureau, avec une pointe de fierté. En plus, ils étaient totalement assortis avec le décor : abominablement poussiéreux. //

- Oh c'est gentil ! J'ai déjà travaillé les défenses contre les forces du mal cette après-midi, du coup je me disais qu'on pouvait peut-être faire les potions, ou de la métamorphose ? Tout dépend de ce que tu préfères ..

// Bien évidemment qu'elle allait choisir la belle et noble matière qu'enseignait Mélédia De Tourmente, Charlen avait toujours eu un penchant pour la métamorphose. Un grand sourire se dessina sur ses lèvres, puis elle s'apprêta à répondre mais Elerinna la devança. //

- Ça a un goût de farofa, tu connais ? déclara la rouquine en parlant du beignet qu'elle venait de goûter. Bon en tout cas, je penche un peu pour l'Amplificatum parce que je pourrai m'essayer à le lancer. Alors que je n'ai pas mes ingrédients de potions sur moi ...

- Non à vrai dire. Farofa tu dis ? Qu'est ce que c'est ? Et c'est un grand oui pour la métamorphose, c'est un peu ma matière de prédilection. Charlen ne chercha même pas dans ses vieilles notes et récita son cours, passionnée, Alors ! Le charme d'agrandissement fonctionne aussi bien sur les objets que sur les êtres vivants, et permet d'augmenter leur taille. Son contre-sort est Reducto.

// Charlen marqua une pause, laissant à Elerinna le temps de tout noter. Après, elles allaient pouvoir passer à la pratique, ce qui était clairement le meilleur moment de l'apprentissage. Elle parlait en connaissance de cause ; même si elle avait quelques souvenirs avec ce sortilège en particulier, impliquant un voyage à Durmstrang et un crabe de feu. //